Par Robin
Voilà un bon moment que j’ai eu la chance de tomber sur cette bouteille, achetée à l’aveugle suite aux chaudes recommandations de divers amis. Ledaig, la version tourbée de Tobermory, est à la mode chez les amateurs de trucs qui envoient du lourd dans les gencives. Plutôt adepte de ce qui se fait sur Islay en règle générale, je n’ai goûté que très peu de Ledaig. Un pote a eu la bonne idée de m’offrir un sample de ce fameux cask 900172, l’occasion de me faire ma propre idée sur ce produit adoubé du plus grand nombre.
Couleur : Cuivre
Nez : Le chocolat noir gourmand est la première chose à me sauter au nez ! Viennent ensuite les notes de cuir, les olives noires, la boîte à cigares, le feu de camp. Arrivent très rapidement les fruits rouges et, notamment, la cerise noire. C’est précis et très alléchant.
Avec de l’eau : Le chocolat noir se transforme en chocolat au lait. La fumée de feu de camp devient plus fermière, la cerise noire garde sa place centrale. On termine sur des notes de tarte aux prunes (Quetsches), celle de ma maman. L’ensemble est très gourmand et me plait énormément.
Bouche : Dès la première gorgée, la fumée de feu de camp marque son territoire même si je la trouve légèrement moins omnipotente qu’au nez, laissant la part belle à la cerise noire agrémentée d’une pointe d’acidité liée à l’apparition de la groseille.
Avec de l’eau : La gourmandise est une nouvelle fois accrue. C’est le retour de la tarte aux prunes de ma maman. Miam ! En fait, c’est comme si j’étais allé me cacher au fond d’une écurie pour manger une part de cette fameuse tarte aux prunes agrémentée de cerises noires pour l’occasion. Quelle somptueuse dualité ! Avec le temps, la fumée devient médicinale. On a l’impression d’être passé par Ardbeg, puis Port Charlotte avant d’arriver chez Laphroaig. L’ensemble est du plus bel effet.
Finale : Très longue et gourmande sur la fumée et la cerise noire. Delicious !
Commentaire : Ce whisky est, à mon sens, parfaitement réussi. Pour un jeune de 10 ans, on est pas loin du tour de force. A la fois complexe (dans une certaine mesure évidemment), changeant, fruité, austère et gourmand.
Couleur : Cuivre
Nez : Le chocolat noir gourmand est la première chose à me sauter au nez ! Viennent ensuite les notes de cuir, les olives noires, la boîte à cigares, le feu de camp. Arrivent très rapidement les fruits rouges et, notamment, la cerise noire. C’est précis et très alléchant.
Avec de l’eau : Le chocolat noir se transforme en chocolat au lait. La fumée de feu de camp devient plus fermière, la cerise noire garde sa place centrale. On termine sur des notes de tarte aux prunes (Quetsches), celle de ma maman. L’ensemble est très gourmand et me plait énormément.
Bouche : Dès la première gorgée, la fumée de feu de camp marque son territoire même si je la trouve légèrement moins omnipotente qu’au nez, laissant la part belle à la cerise noire agrémentée d’une pointe d’acidité liée à l’apparition de la groseille.
Avec de l’eau : La gourmandise est une nouvelle fois accrue. C’est le retour de la tarte aux prunes de ma maman. Miam ! En fait, c’est comme si j’étais allé me cacher au fond d’une écurie pour manger une part de cette fameuse tarte aux prunes agrémentée de cerises noires pour l’occasion. Quelle somptueuse dualité ! Avec le temps, la fumée devient médicinale. On a l’impression d’être passé par Ardbeg, puis Port Charlotte avant d’arriver chez Laphroaig. L’ensemble est du plus bel effet.
Finale : Très longue et gourmande sur la fumée et la cerise noire. Delicious !
Commentaire : Ce whisky est, à mon sens, parfaitement réussi. Pour un jeune de 10 ans, on est pas loin du tour de force. A la fois complexe (dans une certaine mesure évidemment), changeant, fruité, austère et gourmand.
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