Par Bruno
La gamme de Deanston est simplissime : un NAS, virgin oak (un whisky de soif, très fruité, idéal par une chaude après-midi d'été), un 12 ans et un 18 ans (deux en fait, l'autre affiné en fût de cognac durant 6 ans est réservé au marché US) et un 15 ans bio (certifié organic par l'Organic Food Federation).
Celui qui m'occupe est le 18 ans, non filtré à froid, sans caramel, embouteillé à 46.3%, élevé en hogshead et fini en fût de bourbon de premier remplissage. Première sortie en 2015.
Nez : Le nez est très affirmé, doux, un pot de miel de bruyère, du chêne, du malt, du caramel, du foin le tout très équilibré avec une dominante du miel en alternance avec le bois. Il est assez splendide. Le tout est subtil, c’est l’antipode des sherry monster, des tourbés, des ledaig. C’est pas du brutal, c’est très fin. C’est aussi pour votre dame !
Bouche : En bouche : un toucher cireux (moins que Clynelish) supportant du malt vanillé et mielleux. Un peu de fruits (nettement moins que le virgin oak). Ca va, ca vient, des notes florales sont suggérées délicatement. Agréablement surprenant, a déguster longuement par petites touches, au calme.
Finale : La finale très persistante avec des épices, gingembre et poivre doux, et une touche de chocolat (au lait).
Commentaires : Ce n'est pas un whisky très facile d'accès (nécessite une bonne aération et l'ajout de quelques gouttes d'eau, [Franck McHardy, l’ancien maître distillateur de Springbank, a pour habitude de réduire ses drams à 40% abv]), il est exigeant (il faut réfléchir pour le découvrir), il a besoin d'un environnement calme et de temps, il suggère sans rien imposer, il se dévoile si on fait l’effort. Je le trouve fort bien fait et agréablement intriguant. Subtil, fin, élégant.
Celui qui m'occupe est le 18 ans, non filtré à froid, sans caramel, embouteillé à 46.3%, élevé en hogshead et fini en fût de bourbon de premier remplissage. Première sortie en 2015.
Nez : Le nez est très affirmé, doux, un pot de miel de bruyère, du chêne, du malt, du caramel, du foin le tout très équilibré avec une dominante du miel en alternance avec le bois. Il est assez splendide. Le tout est subtil, c’est l’antipode des sherry monster, des tourbés, des ledaig. C’est pas du brutal, c’est très fin. C’est aussi pour votre dame !
Bouche : En bouche : un toucher cireux (moins que Clynelish) supportant du malt vanillé et mielleux. Un peu de fruits (nettement moins que le virgin oak). Ca va, ca vient, des notes florales sont suggérées délicatement. Agréablement surprenant, a déguster longuement par petites touches, au calme.
Finale : La finale très persistante avec des épices, gingembre et poivre doux, et une touche de chocolat (au lait).
Commentaires : Ce n'est pas un whisky très facile d'accès (nécessite une bonne aération et l'ajout de quelques gouttes d'eau, [Franck McHardy, l’ancien maître distillateur de Springbank, a pour habitude de réduire ses drams à 40% abv]), il est exigeant (il faut réfléchir pour le découvrir), il a besoin d'un environnement calme et de temps, il suggère sans rien imposer, il se dévoile si on fait l’effort. Je le trouve fort bien fait et agréablement intriguant. Subtil, fin, élégant.
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